•  

      


     

     

     

     

    Consacrer passionnément la majeure partie
    de son existence à façonner sa vie.

    Aller au bout de ses limites pour les tester,
    les suspecter et les repousser.

    barre



    Utiliser son talent à bon escient,
    sans devenir imbu de soi-même.

    S'inspirer du passé pour composer le quotidien,
    jusqu'à ce que l'avenir soit souvenir.

     

    barre



    Se rendre compte que rien ne stagne,
    que tout ce qui n'avance pas recule.

    Travailler sur soi-même à temps plein,
    sans jamais trop se prendre au sérieux.

    barre



    Oublier les heures de labeur
    pour savourer un instant de bonheur.

    Croire que le pire est passé
    et le meilleur à venir.

    barre



    Accepter qu'on ne peut être parfait et se rappeler
    que les autres ne le sont pas non plus !

    Savoir que l'argent n'est jamais un but,
    parfois un moyen ou... une conséquence.

    barre



    Déguster les petits amuse-gueule de la vie,
    et cesser de faire du bonheur... tout un plat !

    Auteur Inconnu

     

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

    neige

     

     Prière pour mon ordi

    Chaque nuit que la vie m'apporte
    Lorsque je me repose au lit
    Une étrange prière trotte
    Bien présente dans mon esprit.

     

     

    O mon Dieu, bénis mère et père
    Et bénis mes enfants aussi.
    Bénis mon épouse, leur mère...
    Qu'ils soient heureux, forts et gentils.

     

     

    Mon Dieu, je veux te demander...
    - Surtout faudrait pas te fâcher -
    Eh bien, tu sais, mon vieil ordi...
    Voudrais-tu le bénir aussi ?

     

     

    Je sais que ce n'est pas banal
    De bénir un bout de métal,
    Mais laisse-moi bien t'expliquer...
    Et tu pourras mieux décider.

     

     

    Tu vois, cette petite boîte
    Contient bien plus qu'il n'y paraît...
    Pour moi c'est tout comme une fête
    Où beaucoup d'amis m'attendraient.

     

     

    Il s'en trouve, c'est bien certain,
    À qui j'ai pu serrer la main
    Mais d'autres restent sans visage
    Dans mon esprit ne sont qu'images.

     

     

    Et les idées que l'on partage
    Sont des voyages dans leurs coeurs
    L'amitié naît, grandit, sans âge...
    À travers cet ordinateur.

     

     

    Mon Dieu, ajoute à tous tes rôles
    De prendre un moment chaque jour
    Pour bénir... ce morceau de tôle
    Qui contient tant et tant d'amour !

     

    Auteur inconnu.

     

      

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

    Quatre bougies se consument tout doucement.

    Si tu es très attentif, tu peux les entendre parler.

    La première dit:

     

    je suis la paix !
    Personne n’arrive pas à conserver ma lumière.
    Je crois que je vais m’éteindre."

     


    Sa flamme devint de plus en plus petite et finit par s’éteindre.

     

     

     

    La deuxième dit:

     

     

     

    je suis la confiance!
    Je suis la plus fragile et je m’éteins rapidement.

     
    Une petite brise passa et l’éteignit.

     

     

     



    La troisième dit:

     

     

     je suis l’amour!

     
    Je n’ai plus de force.

     

    Les hommes me mettent de côté et

     

    ne comprennent pas mon importance.

    Ils oublient même d’aimer leurs proches." 

     

     

     

    … et elle aussi s’éteignit.

    un enfant arriva et vit que trois bougies s’étaient éteintes.

    oh, mais pourquoi ne brûlez-vous plus?"

    L’enfant devint très triste...

    Mais la quatrième bougie lui répondit:

     

     

    N’aies pas peur, tant que je brûle, on pourra rallumer les autres bougies.
    Car je suis l’espoir!" 

      

     


    Avec des yeux brillants l’enfant prit la bougie de l’espoir

    et ralluma les autres bougies.

     

     


    Que la flamme de l’espoir soit toujours en nous, ainsi nous garderons la paix, la confiance et l’amour pour tous les temps!

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  • LES FLEURS  

     

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

     

    Devine ce que je cache
    Derrière mon dos ?
    Non, ce n'est pas une tache, ni un accroc.
    Ce ne sont pas des mains sales, ni un trou ovale.
    Ce sont des fleurs de mai
    Qui ne faneront jamais.
    "Bonne fête maman.

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

     

    Il était une fois, une île où tous les differents sentiments vivaient :
    Le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres,
    L'Amour y compris.

     

     

     


    Un jour on annonca aux sentiments que l'île allait couler.
    Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.
    Seul l'Amour resta.
    L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.
    Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida
    D'appeler à l'aide.

     

     

     

    La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau.
    L'Amour lui dit :
    "Richesse, peux-tu m'emmener?"
    "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau.
    Je n'ai pas de place pour toi."
    L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi
    Dans un magnifique vaisseau :
    "Orgueil, aide moi je t'en prie ! "
    "Je ne puis t'aider, Amour.
    Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."

     

     

     

     

    La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda :
    "Tristesse, laisse-moi venir avec toi. ".
    "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin
    d'être seule !"

    Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux
    Qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler !

    Soudain, une voix dit, " Viens Amour, je te prends avec moi. "
    C'était un vieillard qui avait parlé.

     

     

     

     

     



    L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia
    De demander son nom au vieillard.
    Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
    L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir :
    "Qui m'a aidé ?"
    "C'était le Temps" répondit le Savoir."
    "Le Temps ? S'interrogea l'Amour. Mais pourquoi
    Le Temps m'a-t-il aidé ?"

     

     

     

     

     



    Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit :
    "C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien
    L'Amour est important dans la Vie."

    Auteur inconnu

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

    Y a d'la joie bonjour bonjour les hirondelles
    Y a d'la joie dans le ciel par dessus le toit
    Y a d'la joie et du soleil dans les ruelles
    Y a d'la joie partout y a d'la joie

     

     

     

     


    Tout le jour, mon cœur bat, chavire et chancelle
    C'est l'amour qui vient avec je ne sais quoi
    C'est l'amour bonjour, bonjour les demoiselles
    Y a d'la joie partout y a d'la joie

     

     
     
     

    Le gris boulanger bat la pâte à pleins bras
    Il fait du bon pain du pain si fin que j'ai faim
    On voit le facteur qui s'envole là-bas
    Comme un ange bleu portant ses lettres au Bon Dieu

     

     

     

     


    Miracle sans nom à la station Javel
    On voit le métro qui sort de son tunnel
    Grisé de soleil de chansons et de fleurs
    Il court vers le bois, il court à toute vapeur

     

     

     

     

    Y a d'la joie la tour Eiffel part en balade
    Comme une folle elle saute la Seine à pieds joints
    Puis elle dit:" Tant pis pour moi si j'suis malade
    J'm'embêtais toute seule dans mon coin"

     
     


    Y a d'la joie le percepteur met sa jaquette
    Plie boutique et dit d'un air très doux, très doux
    " Bien l'bonjour, pour aujourd'hui finie la quête
    Gardez tout ,messieurs gardez tout"

     

     

     

     

     

    Mais voilà que soudain je m'éveille dans mon lit
    Donc j'avais rêvé, oui, car le ciel est gris
    Il faut se lever, se laver, se vêtir
    Et ne plus chanter si l'on n'a plus rien à dire

     

     


    Mais je crois pourtant que ce rêve a du bon
    Car il m'a permis de faire une chanson
    Chanson de printemps, chansonnette d'amour
    Chanson de vingt ans chanson de toujours.

     

     

     
     

    Y a d'la joie bonjour bonjour les hirondelles
    Y a d'la joie dans le ciel par dessus le toit
    Y a d'la joie et du soleil dans les ruelles
    Y a d'la joie partout y'a d'la ha ha ha

     

     

    Tout le jour, mon cœur bat, chavire et chancelle
    C'est l'amour qui vient avec je ne sais quoi
    C'est l'amour bonjour les demoiselles
    Y a d'la joie partout y a d'la joie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

    GLOBES PERSO

     

     

     

     

     

     

     

    Vous me dites, Monsieur,

     

     que j'ai mauvaise mine,  

     

     

     

    Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine 

     

    Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer, 

     

     

     

    Vous me dites enfin que je suis fatigué. 

     

     

     

    Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m'en flatte. 

     


    J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate,
     

     


    Je m'endors épuisé, je me réveille las,

     


    Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas.

     


    Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise.

     


    La fatigue souvent n'est qu'une vantardise.

     


    On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit !

     


    Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ?

     

     

     

    Je ne vous parle pas des sombres lassitudes,

     


    Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude,

     


    N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons...

     


    Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon...

     


    Lorsqu’on n’a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre...

     


    Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ;

     


    Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond.

     


    Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond...

     

     

     

    Mais se sentir plier sous le poids formidable

     


    Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable,

     


    Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains,

     


    Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain,

     


    Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source,

     


    Aider une existence à continuer sa course,

     


    Et pour cela se battre à s'en user le coeur...

     


    Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur.

     

     

     

    Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre,

     


    On va aider un être à vivre ou à survivre ;

     


    Et sûr qu'on est le port et la route et le quai,

     


    Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ?

     


    Ceux qui font de leur vie une belle aventure

     

    ,
    Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure,

     


    Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus

     


    Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu.

     

     

     

    La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste,

     


    C'est le prix d'une journée d'efforts et de luttes.

     


    C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit,

     


    Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit.

     


    C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie,

     


    C'est la preuve, Monsieur, qu'on marche avec la vie.

     

     

     

     

     

    Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,

     

     

     


    J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ;

     


    Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,

     


    Et ma fatigue alors est une récompense.

     

    Et vous me conseillez d’aller me reposer !

     

    Mais si j’acceptais là .ce que vous me proposez

     

    Si j’abandonnais à votre douce intrigue..

     

     Mais je mourrais, Monsieur .tristement..de fatigue

     

    Robert Lamoureux

     

     

     

     

     

    GLOBES PERSO

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

     

    La prière du lyceen

     

     

     

    Notre père qui est le proviseur,
    Que les devoirs soient rares,
    Que les professeurs partent en vacances,
    Que notre volonté soit faite
    Au lycée comme à la maison.
    Donne-nous aujourd'hui un jour de repos,
    Une semaine de vacances,
    Et un mois de de tranquilité.
    Pardonne-nous nos absences,
    Comme nous pardonnons aussi,
    A ceux qui nous font travailler.
    Ne nous soumet pas aux interrogations,
    Aux baisses de notes,
    Aux grèves et aux heures de retenue.
    Mais dàlivre-nous de cet enfer.
    Car c'est à toi qu'appartient le pouvoir
    D'augmenter nos notes et nos jours sans cours,
    Tout en diminuant nos devoirs.

     

     

     

     

     

    trouvé. sur le net

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

     

     

    LE CHAT

     

    Le chat ouvrit les yeux
    Le soleil y entra
    Le chat ferma les yeux
    Le soleil y resta
    Voilà pourquoi le soir
    Quand le chat se réveille
    J'aperçois dans le noir
    Deux morceaux de soleil

     

    MAURICE CAREME

    1899-1978

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

        

    La ronde des mois

    Janvier prend la neige pour châle ;
    Février fait glisser nos pas ;
    Mars de ses doigts de soleil pâle,
    Jette des grêlons aux vent

     



    Avril s'accroche aux branches vertes ;
    Mai travaille aux chapeaux fleuris ;
    Juin fait pencher la rose ouverte
    prés du beau foin qui craque et rit.

     

     

     


    Juillet met les œufs dans leurs coques
    Août sur les épis mûrs s'endort ;
    Septembre aux grands soirs équivoques,

     

    Glisse partout ses feuilles d'or.

     

     

     


    Octobre a toutes les colères,
    Novembre a toutes les chansons
    Des ruisseaux débordant d'eau claire,
    Et Décembre a tous les frissons.

     

     

     



    Rosemonde Gérard
    ("Les pipeaux" - éditions Grasset, 1923).

     

      

     

     

     

     

     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

    Bonheur où es-tu ?

     

    Si tu ne trouves pas le bonheur
    C'est peut-être que tu le cherches ailleurs
    Ailleurs que dans tes souliers
    Ailleurs que dans ton foyer.

     

     

     

    Selon toi, les autres sont plus heureux
    Mais toi, tu ne vis pas chez-eux
    Tu oublies que chacun a ses tracas
    Tu n'aimerais sûrement pas mieux son cas
    Comment peux-tu aimer la vie
    Si ton coeur est plein d'envie
    Si tu ne t'aimes pas
    Si tu ne t'acceptes pas

     

     


    Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute
    C'est de rêver du bonheur trop grand
    Sachons cueillir le bonheur au compte-gouttes
    Ce sont les gouttes qui font les océans.
    Ne cherchons pas le bonheur dans nos souvenirs
    Ne le cherchons pas non plus dans l'avenir
    Cherchons le bonheur dans le présent
    C'est là et là seulement qu'il nous attend

     

     

    Le bonheur n'est pas un objet
    Que l'on peut trouver quelque part hors de nous
    Le bonheur c'est avant tout un projet
    Qui part de nous et se réalise en nous

     

     


    Il n'existe pas de marchand de bonheur
    Il n'existe pas de machine à bonheur
    Il existe des gens qui croient au bonheur
    Ce sont des gens qui font eux-mêmes leur bonheur

     

     

    Si dans votre miroir votre figure vous déplaît
    A quoi ça sert de briser le miroir
    Ce n'est pas lui qu'il faut casser
    C'est vous qu'il faut changer!"

     

     

     

    Par Charles-E. Plourde

     

     

     
     

    Partager cet article :


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

                 

             

           

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
     

    Partager cet article :


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique